Profité d’une pause pour touiller une bassine de ciment blanc, et boucher quelques trous en haut du mur de ma cuisine. C’est fou comme passer un quart d’heure en haut d’une échelle, la truelle à la main, peut être reposant par rapport à un boulot « intello » !
Journal d'un homme des bois, 22 mai 2013
Profité d’une pause pour touiller une bassine de ciment blanc, et boucher quelques trous en haut du mur de ma cuisine. C’est fou comme passer un quart d’heure en haut d’une échelle, la truelle à la main, peut être reposant par rapport à un boulot « intello » ! Je ne plaisante pas. Quand je faisais des traductions, au bout de deux heures de concentration (le temps de traduire cinq ou six feuillets) j’étais vidé pour tout le reste de la journée : juste bon à boire du pastis en croquant des noix de macadamia (les plus chères, mais les meilleures). Alors que touiller du ciment ou tamiser du compost en apnée me donne de l’énergie ! (enfin, faut pas faire que ça non plus). Crotte alors ! Me serais-je trompé de vocation ? (à l’insu de mon plein gré).