Fidèle à son rythme arythmique, la Bibliothèque orbitale revient pour un nouvel épisode, tout entier consacré à Mike Resnick. L'auteur de L'Infernale Comédie, du Faiseur de veuves et de Kirinyaga est décédé ce 9 janvier 2020 et le moins que Philippe Boulier puisse était de lui rendre un spatial hommage…

Peut-être n'y avez-vous pas fait attention mais la Bibliothèque orbitale s'est posée à Nantes lors des Utopiales. Notre chroniqueur spatial, Philippe Boulier, en a profité pour attraper un rhume ainsi que l'anthologie annuelle du festival — choses dont il nous propose le compte-rendu détaillé…

Rappelez-vous : l'an passé, Philippe Boulier nous évoquait l'opération Une Heure-Lumière, les émeutes dans les librairies, les hordes de lecteurs à la recherche du hors-série. Cette année, notre chroniqueur remet le couvert pour nous parler d'Acadie, L'Enfance attribuée, Abimagique et du nouveau-hors-série de la collection…

Le petit Philippe Boulier a de bonnes excuses pour justifier le retard de cette nouvelle livraison de son podcast de l'espace, mais sa maman lui a préparé un mot d'excuse. Quoi qu'il en soit, c'est l'occasion pour notre chroniqueur de se pencher sur les dernières parutions de la collection Une Heure-Lumière : le hors-série 2018, Les Attracteurs de Rose Street de Lucius Shepard, Retour sur Titan de Stephen Baxter et ses deux préférés de la collection…

Dans l'espace, tout le monde vous entend rendre hommage… Au sommaire de ce nouvel épisode du podcast spatial, Philippe Boulier célèbre les œuvres d'auteurs récemment disparus : Kate Wilhelm, David Bischoff, Daniel Walther, Michael Fleisher. Et parfois, il est aussi question d'auteurs vivants, comme Lisa Goldstein, dont le roman Sombres Cités souterraines est paru récemment aux Moutons électriques.

Un autre épisode du podcast de l'espace, plus navré que navrant, où Philippe Boulier rend hommage à Ursula K. Le Guin, grande dame de la littérature. L'occasion de relire le recueil Pêcheur de la mer intérieure (Souffle du rêve), réédité partiellement sous le titre L'Effet Churten (ActuSF), ainsi que Le Langage de la nuit aux Forges de Vulcain. Sans oublier quelques chansons d'amour signées Paul Williams…

Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke concluent (à nouveau) leur tour d'horizon des séries télévisées américaines, avec cet épisode consacré aux séries diffusées le dimanche : Westworld, Westworld, Westworld, Ash vs. Evil Dead, Westworld, The Strain, Westworld, Berlin Station, Graves et Westworld. Et Westworld aussi un peu.

En viendront-ils aux mains ? À bord de la Bibliothèque orbitale, Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke continuent de passer en revue les séries télévisées américaines — celles du jeudi pour ce nouvel épisode —, y chantent les louanges de The Blacklist et The Good Place, et s'écharpent au sujet de Legend of Tomorrow et de Supernatural…

Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke continuent de passer en revue les séries télévisées US. Dans ce nouvel épisode, le duo s'attaquent aux séries diffusées le mardi : accords et désaccords sur Agents of SHIELD, The Flash ou encore, en moins super-héroïque, This Is Us ou No Tomorrow…

Ultime épisode estival consacré aux séries télé, dans lequel Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke se penchent sur deux des meilleures séries fantastiques du moment : Sleepy Hollow et Salem.

Après les super-héros et la science-fiction, Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke s'intéressent aux séries télé de fantastique. Et s'ils partagent le même point de vue sur The Strain, le ton monte très vite lorsqu'il est question de Penny Dreadful. En viendront-ils aux mains ?

Après les séries télé de super-héros, Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke s'attaquent à un autre genre : la science-fiction, en s'intéressant à deux des meilleures séries apparues ces dernières années : Black Mirror et Person of Interest.

Dans ce 63e épisode de la Bibliothèque Orbitale, Philippe Boulier et Wilfrid Tiedtke continuent de discuter de séries télé super-héroïques en dézinguant Agents of SHIELD, en défendant Agent Carter et en se prosternant devant Daredevil.

« When there's no more room in hell, the dead will fly to space… » Pas plus mort que mort-vivant malgré son silence radio, notre chroniqueur de l’espace, Philippe Boulier, ressuscite la Bibliothèque orbitale pour nous évoquer la crème de la crème en matière de zombies : L'Éducation de Stony Mayhall de Daryl Gregory et Déchirés de Peter Stenson.

Après sa rétrospective des meilleures lectures de 2013, retour au présent pour Philippe Boulier. Dans ce cinquième épisode de la Bibliothèque orbitale, notre chroniqueur de l’espace se penche sur le dernier roman en date de Thomas Geha, le planet opera Sous l’ombre des étoiles, et sur Délirium de Philippe Druillet David Alliot, un autoportrait fascinant du père de Lone Sloane.

Dans la digne suite de l’épisode précédent de la Bibliothèque orbitale, Philippe Boulier revient sur ses meilleures lectures de l’année 2013, et nous emmène à Épinal, avec les anthologies Elfes & Assassins et Les Coups de cœur des Imaginales, sous l’ombre gigantesque de Griaule, avec Le Calice du Dragon de Lucius Shepard, et dans le Japon de Jean-Philippe Depotte, avec Le Chemin des Dieux. Gardez vos ceintures attachées, et let’s rock.

Après quelques semaines de silence radio, Philippe Boulier est de retour, plus imbibé que jamais. Au programme, de l’alcool de poire (bio, s’il vous plaît) et des rééditions : l’intégrale Gurvan de P.-J. Hérault et Les Peaux-Épaisses de Laurent Genefort aux éditions Critic. Sans oublier la suite de la rétrospective Roland C. Wagner, avec Poupées aux yeux morts. Let’s do the time warp again !

Cette semaine, la station spatiale russe abandonnée de Philippe Boulier survole non pas la Terre, mais le continent de Westeros. Dans sa cabine en orbite folle, une bouteille de Chardonnay en main, notre ami et chroniqueur a en effet regardé pour son podcast la première saison de l’adaptation TV du Trône de Fer de George R.R. Martin. Mais parce que George R.R. Martin ne se résume pas qu’à sa série de fantasy, Philippe Boulier a également lu le rock’n’roll Armageddon Rag et le velu Skin Trade.

Cette semaine, Philippe Boulier est en forme. Promis, c’est vrai. Qu’on en juge : capable d’écluser trois bouteilles de Riesling avant le déjeuner, il a également dévoré côté livres Rétro-Futur !, ouvrage publié sous la direction de Raphaël Colson, Destination Univers, une anthologie dirigée par Jeanne-A Debats et Jean-Claude Dunyach, sans oublier L’Horloge Nucléaire d’Oli Smith, roman mettant en scène celui qui sauve régulièrement l’univers (mais qui n’a pas encore ramené Pitou des morts) : Doctor Who. Bref, que du bonheur dans sa station spatiale russe abandonnée…

Le 9 décembre 2011 disparaissait Louis Thirion. Disparu des écrans-radars ces dernières années, il fut cependant l’un des auteurs les plus originaux de la collection Anticipation du Fleuve Noir dans les années 60-70. Deux mois après son décès, Philippe Boulier rend hommage à Louis Thirion par un passage en revue en bonne et due forme de son œuvre, et prouvant, si besoin est, qu’il n’est pas trop tard pour la redécouvrir.

Dans l'espace, personne ne vous entend brailler en chœur sur du heavy-metal des 80s. C'est donc ce que fait en toute tranquillité Philippe Boulier à bord de sa station spatiale abandonnée afin de se défouler un peu. En effet, après avoir découvert que les bons réalisateurs pouvaient commettre de mauvais films, notre chroniqueur s'est penché sur des réalisateurs notoirement mauvais et leur filmographie relevant du sous-sous-genre "post-apocalyptique italien". Sa détresse fait l'objet de ce quatrième épisode d'Il était une fois… l'Apocalypse !…

La Terre ne cesse de tourner, la station spatiale de Philippe Boulier d’orbiter et Fabrice Colin d’écrire. Notre chroniqueur de l’espace mélange les alcools (muscadet et bière : est-ce bien raisonnable ?) et varie les plaisirs. Le temps que les techniciens de Baïkonour se remettent au boulot, Philippe Boulier a eu le temps de lire Les Buveurs d’Âmes dudit Fabrice Colin et de Michael Moorcock, paru au Fleuve Noir, ainsi que Vengeance et Comme des fantômes du même Colin, parus respectivement chez Bragelonne et Folio « SF ».

Il est à craindre que les précédents occupants de la station spatiale russe, où Philippe Boulier poursuit son exil orbital, aient été portés tout autant sur la vodka que sur le sidi-brahim. Entre deux bouteilles du spiritueux maghrébin, notre chroniqueur a lu Rêves de Gloire de Roland C. Wagner, récemment paru chez l’Atalante, et notre ami astronaute a eu le coup de foudre pour cette uchronie algérienne. — Un effet secondaire de l’ivresse de l’espace ?

Quatrième semaine d’exil pour notre infortuné chroniqueur, Philippe Boulier, toujours prisonnier de sa station spatiale russe en perdition. À tout malheur, quelque chose est bon, dit-on, et les caves de la station se sont révélées posséder un double fond, garni de son lot de bonnes bouteilles. De quoi voir les choses se dédoubler, se multiplier, se superposer, ce qui tombe à pic, les lectures de notre podcasteur spatial jonglant cette semaine avec les univers parallèles : Les Murs de l’univers de Paul Melko, paru chez Bragelonne-Castelmore, et Le Faiseur d’histoire de Stephen Fry chez Folio-SF.

Cela fait désormais deux semaines que notre ami et collaborateur Philippe Boulier est coincé dans sa station spatiale, russe et désaffectée (est-ce là des synonymes ?).
Pour tromper sa solitude, notre chroniqueur de l’espace sirote du Gewurtztraminer et compte les moutons. Ce qui tombe fort bien, car les littératures de l'imaginaire n'en manquent pas. Ainsi, pour ce deuxième épisode de la Bibliothèque Orbitale, Philippe Boulier a lu deux ouvrages édités par les Moutons électriques : le douzième opus de la revue Fictions et La Cité des ténèbres et autres voyages excentriques de Léon Groc, sans oublier Do androids dream of electric sheeps, le roman de Philip K. Dick récemment retranscrit en BD chez Emmanuel Proust Éditions.

Une fois n'est pas coutume, voici un article extrait non pas de Bifrost, mais du septième volume d'Etoiles Vives, anthologie consacrée à Greg Egan et parue en 1999, bien avant que n'arrive au Bélial' l'intégrale raisonnée de ses nouvelles dont Océanique, paru il y a quelques jours, est le troisième volume. Dans cet article intitulé La Fin des Certitudes ¹, Philippe Boulier mettait en lumière les différentes thématiques récurrentes dans l'oeuvre d'Egan, et celles qui la traversent en filigrane. Aujourd'hui, à présent que l'intégralité des textes cités est disponible, il nous a paru évident de remettre en avant cet article qui démontre, si besoin est, combien Egan est un auteur passionnant.