Pluie, pluie, pluie… les muscaris sont enfin en pleine floraison. Je suis obligé d’en enlever quelques poignées pour faire de la place aux trois pieds de rhubarbe qui poussent dans le même secteur. Il y a quelques jours, une copine d’école de ma mère lui a dit au téléphone qu’elle était envahie par la rhubarbe – loin là-bas, à la frontière luxembourgeoise. Il y en a qui ont bien de la chance !
Journal d'un homme des bois, 16-17 avril 2012
Lundi 16 avril 2012
Pluie, pluie, pluie… les muscaris sont enfin en pleine floraison. Je suis obligé d’en enlever quelques poignées pour faire de la place aux trois pieds de rhubarbe qui poussent dans le même secteur. Il y a quelques jours, une copine d’école de ma mère lui a dit au téléphone qu’elle était envahie par la rhubarbe – loin là-bas, à la frontière luxembourgeoise. Il y en a qui ont bien de la chance ! La rhubarbe pousse très mal chez moi, il fait sans doute trop chaud et le sol ne doit pas convenir – il y a pourtant des pieds de rhubarbe sauvage qui poussent parfois en lisière du tas de compost, sous le feuillage des pruniers. Ça se mange, la rhubarbe sauvage ?
Mardi 17 avril 2012
Pluie, pluie, pluie… de petites touffes feuillues se déploient à l’extrémité des branches des figuiers. J’ai réduit de moitié leur encombrement à l’automne dernier et ils n’en ont que davantage de vigueur. Il ne faut pas hésiter à tailler parfois sévèrement.