
Virée touristique à Bourg-sur-Gironde – j’ai l’habitude de faire visiter cette petite ville toute en remparts et passages secrets, que je connais comme ma poche, à tous les amis de passage…
Virée touristique à Bourg-sur-Gironde – j’ai l’habitude de faire visiter cette petite ville toute en remparts et passages secrets, que je connais comme ma poche, à tous les amis de passage…
Virée touristique à Bourg-sur-Gironde – j’ai l’habitude de faire visiter cette petite ville toute en remparts et passages secrets, que je connais comme ma poche, à tous les amis de passage. Nous en profitons pour passer à Saint-Seurin de Bourg, pour acheter quelques bouteilles de Côtes de Bourg bio, directement au Château Puy d’Amour. Puis direction Blayes et sa citadelle fleurie. De retour, diner en famille – Flora et son copain sont aussi de passage. Nous sommes dix à table, ça tombe bien : pas un de plus, pas un de moins, dans la récolte du soir de radis. Le monde est bien fait…
Départ en début d’après-midi pour Bordeaux où la troupe prend ses quartiers. Journée pluie. Visite de la ville en voiture. Bordeaux by night, depuis la rive droite – Jiji en profite pour faire des photos panoramiques (je ne savais pas que ce genre de choses était possible). Journée pluie (je l’ai déjà dit ?).
Journée arcachonnaise : promenade au parc en haut de la ville, descente vers le centre-ville piétonnier, déjeuner au restaurant indien où nous avons nos petites habitudes, coup d’œil sur la plage et sur l’inénarrable galerie d’art qui y fait face (spécialisée dans le très-laid-très-cher pour bordeluches très-crétins). Retour en haut de la ville, pour récupérer la voiture et rapide tour motorisé (à pied, ils tirent à vue ou lâchent les chiens !) de la ville d’hiver et de sa collection d’hôtels particuliers plus kitch les uns que les autres. Petit coucou à la Dune du Pyla, investie par des escadrilles de parapentistes costumés en petites chochottes. Trop de monde, tout partout. Ca pue déjà l’été ! Nous mettons presque trois heures pour rentrer sur Bordeaux, dans un bouchon quasi ininterrompu. Tout le monde prend cela avec la plus grande philosophie, façon : « c’est la vie, c’est comme ça ! ». Décidemment, il n’y a que moi pour aimer la vie spartiate, solitaire et campagnarde que je mène – et pour détester tout autre mode de vie, en particulier urbaine.