Début du marathon lambris. L’objectif est de lambrisser la plus grande surface possible avant mon, départ pour la Suisse. Rien n’est évident : les espaces sont cloisonnés (de quelques centimètres jusqu’à une quinzaine de centimètres du plafond), une poutre est très précisément au-dessus d’une des cloisons (y clouer le lambris ne va pas être évident). Mais surtout le lambris – acheté pour du déclassé – s’avère au déballage être une véritable escroquerie !
Journal d'un homme des bois, 10 juillet 2012
Début du marathon lambris. L’objectif est de lambrisser la plus grande surface possible avant mon, départ pour la Suisse. Rien n’est évident : les espaces sont cloisonnés (de quelques centimètres jusqu’à une quinzaine de centimètres du plafond), une poutre est très précisément au-dessus d’une des cloisons (y clouer le lambris ne va pas être évident). Mais surtout le lambris – acheté pour du déclassé – s’avère au déballage être une véritable escroquerie ! Des lames à peu près correctes (il y a pas mal de nœuds, ce qui ne me gêne pas, et puis c’est la règle du jeu quand on achète du déclassé) camouflent l’intérieur de chaque paquet, dont absolument toutes les lames sont incomplètes : nœuds éclatés, à l’intérieur ou en bordure, trous, languettes manquantes, lames carrément cassées au niveau des nœuds les plus importants. Je vais devoir découper la plupart des lames en fragments d’une soixantaine de centimètres permettant de joindre deux poutres, au mieux trois poutres si je récupère des fragments assez longs. Le problème est que je ne pourrai pas les emboîter aux extrémités mais seulement les juxtaposer. Bon, je me suis fait arnaquer. Et j’ai acheté ce lambris il y a une éternité, en bénéficiant d’un stock promotionnel, je ne sais même plus où…