Journal d'un homme des bois, 10 avril 2012

Journal d'un homme des bois |

valery-jhb-une.jpgMon doigt ne s’arrange pas vraiment – cela étant, ça ne s’aggrave pas vraiment non plus. Simplement, je me ballade toute la journée avec une poupée au bout de l’index pour éviter une infection, et je ne peux quasiment pas me servir de ma main gauche. Ce n’est pas douloureux tant que je n’y touche pas – mais la cicatrisation est incertaine…

Mon doigt ne s’arrange pas vraiment – cela étant, ça ne s’aggrave pas vraiment non plus. Simplement, je me ballade toute la journée avec une poupée au bout de l’index pour éviter une infection, et je ne peux quasiment pas me servir de ma main gauche. Ce n’est pas douloureux tant que je n’y touche pas – mais la cicatrisation est incertaine… j’aurais du me coudre deux points pour maintenir en place les bords de l’entaille, comme dans Rambo (on n’est pas des chochottes !). Virée ce matin au Mr. Bricolage du coin pour compléter le matériel – bonjour les prix par rapport à Brico Dépôt… mais nous n’avons guère le temps de filer une fois de plus à Bordeaux ; nous avons vu un peu court au niveau des tuyaux d’évacuation et j’ai cassé le tamponnoir qui permet de percer le béton (vibré ?) du mur extérieur (les parpaings des années soixante sont autrement plus solides que ceux qu’on nous vend aujourd’hui !). Avec le supplément de tuyaux de cuivre et la colle à carrelage achetés samedi, j’arrive au budget prévu de mille euros. Bien vu, Francis. Les joubarbes se plaisent bien : elles se redressent en s’ouvrant largement. Cognassiers, pommiers et poiriers sont désormais en fleurs. Le cousin repart demain matin – il nous reste à finir le carrelage de sol de la salle de bains (on va le coller au ciment, à l’ancienne !), et procéder à la mise en eau. Qui vivra verra.

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