Du haut de sa station spatiale russe abandonnée où il est exilé depuis précisément 218 jours, Philippe Boulier a tenu à soutenir psychologiquement, a posteriori, et avec des litres de Chardonnay, l’équipage de l’expérience Mars 500. Non pas en dirigeant sa station vers la planète rouge, mais avec le visionnage forcené du contenu du coffret Destination Mars, soit quatre films datant des fifties. À côté de cela, notre ami et chroniqueur de l’espace a aussi lu L’Homme démoli d’Alfred Bester, premier roman à recevoir le prix Hugo.