Acheté au Mutant du village, moyenne surface alimentaire de hard discount où il m’arrive d’aller acheter des mouchoirs et du PQ, quand je passe devant, un Camellia japonica à prix massacré – en gros le quart du prix habituel pratiqué dans les grandes enseignes de la jardinerie commerciale.
Journal d'un homme des bois, 4 avril 2013
Acheté au Mutant du village, moyenne surface alimentaire de hard discount où il m’arrive d’aller acheter des mouchoirs et du PQ, quand je passe devant, un Camellia japonica à prix massacré – en gros le quart du prix habituel pratiqué dans les grandes enseignes de la jardinerie commerciale. De deux choses l’une : soit le Camélia est mort et ça ne se voit pas encore (le substrat n’a pas l’air terrible), et donc je me suis fait niquer – même si peu profondément, vu le tarif ; ou alors j’ai fait une affaire. Il n’y a plus qu’à lui trouver un petit coin et à me procurer de la terre de bruyère pour maximiser ses chances de reprises. Trouvé également des lots de magazines de jardinage datant de quelques mois – au pire un an et demi – proposés à petit prix, en pochettes. Ça me fera de lecture et me donnera sans doute quelques idées d’aménagement. Acheter des magazines de jardinage ou de déco neufs n’a aucun intérêt (sauf Rustica, pas cher et indispensable !), on les trouve aisément en lots de trois ou quatre numéros, soldés pour le prix d’un seul numéro. Si à parution le contenu est intéressant en soi, il le reste un an après ! Ça n’a rien à voir avec l’actualité.