« Suite à mon billet d’hier, un lecteur m’interpelle : « Certes, mais que boit-on avec la fondue ? ». Je pourrais éluder la question en renvoyant, justement, à mon billet d’hier : « La même chose qu’avec la raclette, tout simplement ! » mais je sens qu’on m’en voudrait. Soyons aussi affirmatif qu’un stagiaire de France 2 : jamais du froid ! »
Suite à mon billet d’hier, un lecteur m’interpelle : « Certes, mais que boit-on avec la fondue ? ». Je pourrais éluder la question en renvoyant, justement, à mon billet d’hier : « La même chose qu’avec la raclette, tout simplement ! » mais je sens qu’on m’en voudrait. Soyons aussi affirmatif qu’un stagiaire de France 2 : jamais du froid ! Et complétons par un exemple. Un ami à moi ayant une fois eu, bien qu’il ne fut pas belge, la malencontreuse idée d’accompagner sa fondue de coca-cola glacé, passa de fait la première moitié de la nuit à vomir, petit morceau par petit morceau, le fromage coagulé emplissant son estomac ainsi que la tuyauterie interne afférente – la seconde moitié de la même nuit se passa pour lui au CHU de Lausanne, au service des grands crétins. Si l’on ne boit pas du froid, alors que boit-on ? Et bien de l’alcoolisé : par exemple du vin blanc, suisse de préférence. Ou alors du chaud (du thé) pour les chochottes ou pour les réfractaires au vin suisse – ce qui est le cas de la plupart des français. Sinon : passage éclair ce samedi de copains d’enfance – batteur et bassiste de mon premier groupe, quand j’avais treize ans – de retour d’une semaine de ski dans les Pyrénées, et à destination du Maine-et-Loire (où j’ai passé mon adolescence). Pas pensé à leur demander s’ils avaient mangé de la raclette ou de la fondue. On en mange aussi dans les Pyrénées ?