« Virée à Jardiland et achat d’une Azalea japonica Stewartoniana dans son splendide feuillage hivernal. Une partie des feuilles est d’un rouge soutenu, les autres sont d’un vert extrêmement sombre, presque noir par endroits. Je l’installerai dans quelques jours en avant d’un muret que j’ai monté au cours de l’été dernier, avec d’anciennes pierres de taille massives et dans le but de structurer un peu les alentours du chalet… »
Virée à Jardiland et achat d’une Azalea japonica Stewartoniana dans son splendide feuillage hivernal. Une partie des feuilles est d’un rouge soutenu, les autres sont d’un vert extrêmement sombre, presque noir par endroits. Je l’installerai dans quelques jours en avant d’un muret que j’ai monté au cours de l’été dernier, avec d’anciennes pierres de taille massives et dans le but de structurer un peu les alentours du chalet. Fin novembre, j’ai planté des bulbes d’ail ornementaux au pied des pierres — les tiges n’ont pas tardé à jaillir du sol et font déjà plus de trente centimètres. L’extrémité ouest de ce muret vient buter contre un foisonnement de vieux noisetiers dont j’ai conservé les troncs sur une hauteur de deux mètres – et autour desquels grimpe du lierre. Une cloison faite de lambris de récupération, passés à la peinture blanche, délimite un espace protégé à la fois du vent d’ouest, venu de l’océan et chargé de pluie, et de la froidure nordique. Là, j’ai planté en automne un faux-jasmin dont les lianes devraient, au cours des prochaines années, coloniser à leur tour les troncs de noisetiers comme autant de tuteurs. Ou pas…