À force de patience et de visionnage de vieilles VHS, dénichées dans un recoin sombre de sa station spatiale, Philippe Boulier a appris à dégainer sa télécommande plus vite que son ombre. Jamais sa main ne tremble, malgré tout le chianti qu’il ingurgite en quantité astronomique et la qualité des films. Cette semaine, pour la deuxième partie de Il était une fois… l’Apocalypse !, notre ami et chroniqueur s’est intéressé à l’inégale filmographie de Sergio Martino, à qui l’on doit 2019, Après la chute de New-York, l’un des plus fameux post-nukes spaghetti.
Où le narrateur passe en revue la carrière de Sergio Martino, avant d'évoquer ses deux offrandes au genre post-apocalyptique :
2019 Après la Chute de New York...
et Atomic Cyborg.
[Accompagnement musical, par ordre d'apparition :]
- Raven : Crash Bang Wallop
- La Montagne du Dieu Cannibale / La Montagna del Dio Cannibale (Guido & Maurizio De Angelis)
- Mannaja (Guido & Maurizio De Angelis)
- L'Etrange Vice de Mme Wardh / Lo Strano Vizio della Signora Wardh (Nora Orlandi)
- L'Alliance Invisible / Tutti i Colori del Buio (Bruno Nicolai)
- Torso / I Corpi presentano Tracce di Violenza Carnale (Guido & Maurizio De Angelis)
- Milano Trema : la Polizia vuole Giustizia / Rue de la Violence (Guido & Maurizio De Angelis)
- La Montagne du Dieu Cannibale / La Montagna del Dio Cannibale (Guido & Maurizio De Angelis)
- Rock Goddess : Satisfied than Crucified
- Metal Church : Ton of Bricks
- Raven : Break the Chains