Dans l’espace, personne ne vous entend picoler. Notre chroniqueur, toujours perché dans sa station orbitale, en profite, et, les vapeurs d’éthanol aidant, se recompose à l’envi des paysages mentaux qui n’ont rien à envier à ceux de J.G. Ballard. Tout dépend de la bouteille… Pleine, c’est Le Monde englouti ; vide, on est au beau milieu d’une Sécheresse…