Journal d'un homme des bois, 29 avril 2013

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valery-jhb-une.jpgC’est ce week-end que ma fille, Flora, fait ses adieux à la petite maison où elle était venue vivre après avoir quitté Bordeaux, il y a six mois. Elle et son amoureux, Michaël, ont déniché une maison dans un quartier tranquille de Libourne, proche du centre-ville. Du coup, je commence à démonter toutes les étagères de la cuisine et à entasser les stocks de céréales, épices, conserves de légumes… dans la pièce du fond, actuellement un immense débarras où Flora avait installé un coin bureau avec son ordinateur.

C’est ce week-end que ma fille, Flora, fait ses adieux à la petite maison où elle était venue vivre après avoir quitté Bordeaux, il y a six mois. Elle et son amoureux, Michaël, ont déniché une maison dans un quartier tranquille de Libourne, proche du centre-ville. Du coup, je commence à démonter toutes les étagères de la cuisine et à entasser les stocks de céréales, épices, conserves de légumes… dans la pièce du fond, actuellement un immense débarras où Flora avait installé un coin bureau avec son ordinateur. Il faut refaire complètement cette pièce, quasiment à l’abandon depuis belle lurette. Les plaques de placo-plâtre fixées sur les murs il y a plusieurs dizaines d’années sont dans un sale état, la grande moquette au sol est foutue (il y a eu plusieurs remontées d’eau, dans les périodes de pluie abondante) et les plaques d’agglo au plafond ne valent guère mieux : elles se désagrègent par endroits, suite à des fuites dans le toit. Une bonne partie de ce dernier a été refaite, à l’automne dernier – il en reste un grand morceau, sur l’arrière du bâtiment, que mon pote Antonio doit venir me refaire, la semaine prochaine. Une fois le toit achevé, je me lance dans la restauration de cette grande pièce pour y installer ma bibliothèque et mes archives BD, actuellement ai premier étage de la grande maison. Ça va être un sacré chantier ! En attendant, je finis de vider la cuisine pour reprendre et achever les travaux (isolation, lambris au plafond, coffrage de la tuyauterie, construction d’un cagibi pour dissimuler le cumulus, etc.) commencés au cours de l’été dernier et mis en sommeil quand ma fille s’est installée ici. En attendant, première récolte au jardin : trois radis (on ne rit pas !).

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